TABLES DES MATIERES

 

 

 

Introduction (p.7)

 

 

N°1. Propos liminaires.

N°2. Un débat passionnel.

N°3. L’esquisse d’une approche constructive.

N°4. La notion de fonds de pension.

N°5. Intérêt et objet de l’étude.

N°6. Capitalisation et répartition :  une opposition surannée.

N°7. Présentation de la problématique.

 

 

Partie I : Les fonds de pension : une difficile conciliation entre liberté et égalité. (p.41)

 

 

Chapitre I : une souplesse indispensable. (p.42)

 

 

Section I : La liberté du FER. (p.42)

 

 

Sous-section I : La liberté de choisir une structure juridique habilitée à gérer l’épargne retraite. (p.42)

 

 

§ I : Le choix de la loi du 25-03-1997 et des propositions de loi ultérieures relatives aux fonds de pension. (p.43)

 

N°8. Les mutuelles du code de la mutualité.

N°9. Les sociétés d’assurance mutuelles.

N°10. Les sociétés anonymes d’assurance.

N°11. Les institutions de prévoyance.

 

§ II : Les hésitations du législateur. (p.54)

 

N°12. Faut-il créer des trusts en droit français ?

N°13. Faut-il autoriser les sociétés par actions simplifiées à gérer l’épargne retraite ?

N°14. Faut-il créer des plans d’épargne entreprise à long terme ?

 

Sous-section II : Le libre choix des titres par le FER. (p.61)

 

 

§ I : Le FER : un investisseur qualifié. (p.62)

 

N°15. La consécration législative de la notion d’investisseur qualifié.

N°16. Justification du libre choix des titres par le FER.

 

 

§ II : Le capitalisme français à l’épreuve des fonds de pension étrangers. (p.70)

 

N°17. Les conséquences de l’importance de l’actionnariat étranger dans le capital des sociétés françaises.

N°18. Une question complexe.

N°19. Les atouts potentiels des fonds de pension français.

 

 

Sous-section III : La liberté de sous-traiter la gestion de ses actifs. (p.81)

 

§ I : Les choix de la loi du 25-03-1997 et de la proposition sénatoriale du 14-10-1999. (p.82)

 

N°20. Une sous-traitance facultative.

N°21. Le choix des sociétés de gestion de portefeuille.

 

§ II : Les limites de la sous-traitance de la gestion d’actifs. (p.84)

 

N°22. Une source de surcoût et de complexité.

N°23. L’externalisation peut favoriser des choix à court terme.

N°24. Les limites du PEELT.

 

 

Section II : La liberté de l’adhérent. (p.89)

 

 

Sous-section I : La liberté d’adhésion et de versement. (p.89)

 

 

§ I : Un adhérent responsable. (p.89)

 

N°25. La capitalisation source de responsabilisation du citoyen.

N°26. Un complément du taux de remplacement offert par la répartition.

 

§ II : Un produit attrayant. (p.95)

 

N°27. L’originalité juridique de l’épargne retraite.

N°28. Les atouts d’un dispositif collectif.

N°29. La stabilité des avantages fiscaux octroyés à l’adhérent.

 

 

Sous section II : La liberté de transfert des adhérents. (p.106)

 

 

§ I : Le transfert collectif. (p.106)

 

N°30. La décision d’un transfert collectif.

N°31. Les conséquences d’un transfert collectif.

 

§ II : Le transfert individuel. (p.109)

 

N°32. Les transferts individuels liés à une rupture du contrat de travail.

N°33. Les transferts individuels sans rupture du contrat de travail.

 

Sous section III : Le libre choix d’un profil de gestion. (p.116)

 

 

§I : La gestion profilée : une conciliation entre la liberté et la sécurité de l’adhérent. (p.116)

 

N°34. La complexité de la gestion de l’épargne retraite.

N°35. Les atouts de la gestion profilée.

 

§II : Permettre à l’adhérent de déterminer les contours de l’intérêt social. (p.119)

 

N°36. La complexité de la notion d’intérêt social.

N°37. Réconcilier l’économique et le social.

 

Sous section IV : La liberté de choisir une sortie limitée en capital. (p.129)

 

§ I : Comparaison d’une sortie en capital ou en rente viagère. (p.129)

 

N°38. Les avantages et les limites d’une sortie en capital.

N°39. Avantages et limites de la sortie en rente viagère.

 

§ II : Analyse des solutions proposées. (p.131)

 

N°40. L’arbitrage de la loi du 25-03-1997 et des propositions de loi ultérieures.

N°41. Les propositions du rapport Balligand-Foucauld.

 

 

Section III : La liberté de l’employeur. (p.135)

 

 

Sous-section I : La liberté de souscription. (p.135)

 

§I : Le rôle névralgique de l’employeur lors de la création d’un PER. (p.136)

 

N°42. Les modalités de souscription.

N°43. La consultation du comité d’entreprise.

 

§ II : Concilier la liberté de l’employeur et les intérêts de l’adhérent. (p.140)

 

N°44. L’adhésion individuelle.

N°45. L’hypothèse d’une cession, fusion ou scission du souscripteur du PER.

 

Sous-section II : La liberté d’abonder le PER. (p.145)

 

§ I : La difficile conciliation entre la liberté de l’employeur et les intérêts des adhérents. (p.146)

 

N°46. Le choix du législateur dans la loi du 25-03-1997.

N°47. Le choix des propositions ultérieures et de certains pays étrangers.

 

§ II : Des incitations financières pour favoriser l’abondement de l’employeur. (p.150)

 

N°48. Les choix de la loi du 25-03-1997.

N°49. Les propositions ultérieures.

 

Sous-section III :  La liberté de choisir un plan à prestations définies ou à cotisations définies. (p.154)

 

 

§I : Les avantages et limites des plans à cotisations définies. (p.155)

 

N°50. Les avantages.

N°51. Les limites.

 

§II : Les avantages et limites des plans à prestations définies. (p.156)

 

N°52. Les avantages.

N°53. Les limites.

 

 

Chapitre II : La recherche d’une forme d’égalité. (p.160)

 

 

N°54. Propos liminaires.

 

Section I : L’inégalité actuelle entre citoyens dans le domaine de l’épargne retraite. (p.163)

 

 

Sous section I : Le régime de la capitalisation des fonctionnaires. (p.164)

 

§I : La Préfon. (p.165)

 

N°55. L’historique de la Préfon.

N°56. Les atouts de la Préfon.

N°57. Les insuffisances de la Préfon.

 

§II : Le Cref. (p.172)

 

N°58. La spécificité du Cref.

N°59. Les limites du Cref.

 

Sous section II : Le régime de la capitalisation des salariés du secteur privé. (p.176)

 

 

§I : Un statu quo intenable. (p.176)

 

N°60. Un statu quo générateur d’inégalités statutaires.

N°61. Un statu quo générateur d’inégalités entre les catégories sociales.

N°62. L’assurance vie n’est pas parfaitement adaptée à la préparation de la retraite.

N°63. L’assurance vie favorise les placements obligataires.

 

§II : Une épargne retraite embryonnaire aux contours juridiques incertains. (p.181)

 

N°64. Les contrats dits « article 39 ».

N°65. Les contrats dits « article 83 ».

N°66. Les critiques adressées à l’épargne supplémentaire par les entreprises.

N°67. Quelques exemples de fonds de pension français.

N°68. Les atermoiements du législateur.

N°69. La rupture d’égalité entre les personnes morales aptes à gérer l’épargne retraite.

 

Sous section III : Le régime de la capitalisation des travailleurs indépendants. (p.196)

 

 

§I : L’épargne retraite des agriculteurs indépendants. (p.196)

 

N°70. L’histoire mouvementée du régime Coreva.

N°71. L’immixtion du droit de la concurrence dans le domaine de la protection sociale.

 

§II : L’épargne retraite des travailleurs indépendants selon la loi n°94-126 du 11-02-1994. (p.202)

 

N°72. Les caractéristiques de la loi du 11-02-1994.

N°73. Une expérience enrichissante.

 

Section II : Le fonds de garantie des FER : une source d’égalité entre adhérents. (p.211)

 

 

Sous section I : Eléments de droit comparé.(p.213)

 

 

§I : Les fonds de garantie des assurés dans les pays étrangers. (p.214)

 

N°74. Les fonds de garantie des assurés en Europe.

N°75. Les fonds de garantie des assurés aux Etats-Unis et au Canada.

 

§II : Les fonds de garantie des fonds de pension dans les pays étrangers. (p.218)

 

N°76. L’exemple des Etats-Unis.

N°77. L’exemple de la Grande-Bretagne.

 

Sous section II : Le fonds de garantie des FER institué par la proposition sénatoriale du 14-10-1999. (p.226)

 

 

§I : L’affaire Europavie ou l’insuffisante protection des assurés avant la loi n°99-532 du 25-06-1999. (p.226)

 

N°78. L’affaire Europavie.

N°79. L’insuffisante protection des assurés dans l’hypothèse d’une liquidation de l’entreprise d’assurance.

 

§II : La création d’un fonds de garantie des assurés par la loi n°99-532 du 25-06-1999. (p.234)

 

N°80. Domaine d’intervention du fonds de garantie des assurés.

N°81. La procédure d’intervention du fonds de garantie.

N°82. Les ressources du fonds de garantie.

 

Section III : Le fonds de réserves : une capitalisation étatique et obligatoire. (p.243)

 

 

Sous section I : Les fonds de réserves du Canada et des Etats-Unis. (p.245)

 

 

§I : Le fonds de réserves du Canada. (p.245)

 

N°83. L’accroissement des réserves du RPC (Régime des pensions du Canada).

N°84. Une nouvelle gestion des actifs du fonds de réserves du Canada.

 

§II : Le fonds de réserves des Etats-Unis. (p.253)

 

N°85. Présentation du fonds de réserves américain.

N°86. Les réformes proposées par le Président Clinton.

 

Sous section II : Le fonds de réserves français créé par la loi n°98-1194 du 23-12-1998. (p.257)

 

§I : Le fonctionnement du fonds de réserves. (p.258)

 

N°87. Composition et rôle des organes du fonds de réserves.

N°88. La gestion des réserves.

 

§II : Les ressources du fonds  de réserves. (p.268)

 

N°89. Des ressources limitées.

N°90. Une ambition limitée.

 

§III : Un mécanisme centralisé et attentatoire à la liberté du citoyen. (p.271)

 

N°91. Un choix contestable.

N°92. Les nouvelles perspectives offertes par la récente jurisprudence de la CJCE.

 

 

 

 

Partie II : Une volonté de sécurité de l’épargne retraite. (p.275)

 

 

 

Chapitre I : Une gestion encadrée. (p.277)

 

Section I : L’obligation de loyauté à la charge du FER. (p.277)

 

 

Sous-section I : Notion et fondements de l’obligation de loyauté. (p.278)

 

§I.- La notion d’obligation de loyauté. (p.278)

 

N°93. Définition du devoir de loyauté.

N°94. Distinction entre le devoir de loyauté et celui de diligence.

N°95. Une distinction relative.

 

§II.- Les fondements de l’obligation de loyauté. (p.282)

 

N°96. La diversité des fondements.

N°97. Le contrat de mandat permet-il de justifier l’obligation de loyauté ?

 

Sous-section II : Les conflits d’intérêts potentiels. (p.285)

 

§I.- Les relations entre le FER et les adhérents. (p.285)

 

N°98. L’importance de la personnalité morale du FER.

N°99. Les limites de la technique contractuelle.

N°100. L’exemple des gestionnaires de portefeuille.

N°101. L’exemple de la bancindustrie.

 

 

§II.- Les relations entre les adhérents et les dirigeants des FER. (p.289)

 

N°102. Un enrichissement de l’analyse des motivations du dirigeant.

N°103. La solution proposée par la loi du 25-03-1997.

N°104. Une définition nécessairement extensive de l’intérêt du dirigeant.

N°105. Devoir de loyauté et détournement de pouvoir.

 

§III.- Les relations entre les adhérents et les actionnaires du FER. (p.292)

 

N°106. La spécificité de la société anonyme d’assurance.

N°107. Le principal atout de la technique mutualiste : la confusion entre la qualité de sociétaire et celle d’adhérent.

N°108. Quelques exemples de conflits d’intérêts entre les actionnaires et adhérents.

 

 

§IV.- Les relations entre les adhérents et les employeurs. (p.294)

 

N°109. Les limites de la gestion interne.

N°110. La gestion externe : une condition nécessaire mais pas suffisante.

 

§V.- Les conflits d’intérêts entre adhérents. (p.299)

 

N°111. L’hétérogénéité des adhérents et les risques de rupture d’égalité.

N°112. L’intérêt d’un cantonnement des actifs.

 

Sous-section III : Prévention et sanction du défaut de loyauté. (p.300)

 

N°113. Le rôle névralgique des FER.

 

§I.- La prévention des conflits d’intérêts. (p.300)

 

N°114. Une prévention protéiforme.

N°115. La technique de la muraille de chine.

N°116. La réglementation des opérations personnelles.

 

§II.- La sanction du défaut de loyauté. (p.305)

 

N°117. Les ambiguïtés de la loi du 25-03-1997.

N°118. Doit-on sanctionner pénalement le défaut de loyauté ?

N°119. La responsabilité du FER du fait de ses salariés.

 

Sous-section IV : Les limites du devoir de loyauté. (p.310)

 

§I.- Respecter le fonctionnement du marché. (p.310)

 

N°120. L’intégrité du marché.

N°121. La sanction du délit d’initié.

N°122. Manipulation boursière et bulle spéculative.

N°123. L’interdiction de transmettre de fausses informations.

 

 

§II.- Respecter l’intérêt social et les autres associés. (p.314)

 

N°124. Ne pas confondre protection et surprotection des associés minoritaires.

N°125. Le difficile arbitrage entre la distribution et la mise en réserve des bénéfices.

N°126. La sanction du FER minoritaire nocif.

 

Section II : l’obligation de diligence. (p.321)

 

Sous-section I : Définition et nature du devoir de diligence. (p.321)

 

§I.- La notion de diligence. (p.321)

 

N°127. Un devoir d’activité et d’efficacité.

N°128. Un devoir d’efficience.

N°129. Un devoir de prudence et de compétence.

N°130. Tentative de synthèse.

 

§II.- La nature de l’obligation de diligence. (p.325)

 

N°131. Obligations de moyens ou de résultat ?

N°132. Fondements de l’obligation de moyens applicable à la gestion d’actifs.

N°133. La prohibition des clauses d’exonération ou limitatives de responsabilité.

N°134. Un contentieux potentiel substantiel.

 

Sous-section II : Les règles prudentielles. (p.333)

 

§I.- Les choix pertinents de la loi du 25-03-1997. (p.333)

 

N°135. La spécificité de l’épargne retraite.

N°136. Un principe de prudence à la charge des FER.

N°137. La nécessaire diversification des actifs.

N°138. Les placements dans les sociétés non cotées.

N°139. La difficile question des placements à risques et dans l’innovation.

N°140. Les placements dans les sociétés cotées.

N°141. Une limite calculée à l’échelle du groupe de sociétés.

 

§II.- Les choix contestables de la loi du 25-03-1997. (p.338)

 

N°142. La confusion entre règles de placements et règles prudentielles.

N°143. L’indispensable maintien du pouvoir d’achat des rentes des adhérents.

N°144. Les atermoiements du législateur en 1997.

N°145. Les exemples étrangers.

 

Sous-section III : Le devoir de diligence source de l’activisme des FER. (p.342)

 

N°146. Fonds de pension et « corporate governance ».

 

§I.- Une volonté de transparence. (p.343)

 

N°147. La recherche d’informations fiables.

N°148. Les atouts du capitalisme institutionnel.

N°149. Les attentes spécifiques des FER.

N°150. La notion d’investissement relationnel.

N°151. Une harmonisation comptable indispensable.

N°152. Les FER obligataires.

 

§II.- Le devoir de voter. (p.349)

 

N°153. L’originalité de la loi du 25-03-1997.

N°154. L’exemple américain.

N°155. La transparence du vote.

N°156. Respecter la philosophie de l’obligation de voter.

N°157. Les exceptions au devoir de voter.

N°158. Faut-il prohiber l’utilisation des mandats en blanc ?

N°159. Le vote par correspondance.

N°160. Le recours à un mandataire.

N°161. La confidentialité du vote.

N°162. Le transfert du droit de vote aux entreprises d’investissement.

.

 

§III.- Une volonté d’efficacité et d’efficience. (p.359)

 

N°163.  « Corporate governance » et efficacité des entreprises.

N°164. Les FER instigateurs d’évolutions économiques.

N°165. Les évolutions juridiques inspirées par les FER.

N°166. Les évolutions juridiques souhaitées par les FER.

N°167. Les FER instigateurs d’un changement de la pratique des affaires.

N°168. L’intérêt des adhérents contre celui de salariés ?

 

 

§IV.- Les limites de l’activisme des FER. (p.376)

 

N°169. Les risques potentiels.

N°170. Le respect du principe d’égalité entre actionnaires.

N°171. Le respect de la spécialisation des organes imposée par le droit des sociétés.

N°172. Ne pas devenir un dirigeant de fait.

 

 

Chapitre II : une gestion contrôlée. (p.385)

 

N°173. Des contrôles complémentaires.

 

Section I : Les contrôles internes. (p.386)

 

Sous-section I : Le contrôle des adhérents. (p.386)

 

§I.- Justifications et enjeux du contrôle direct et indirect de l’adhérent. (p.386)

 

N°174. Un renforcement du contrôle des adhérents dans les pays étrangers.

N°175. Les attentes de l’épargnant français.

N°176. Démocratie directe ou régime représentatif ?

N°177. Du capitalisme institutionnel au capitalisme citoyen.

N°178. La notion de salaire différé.

N°179. Fonds de pension et troisième voie.

N°180. De la cogestion à la cosurveillance.

N°181. Capitalisme citoyen et Etat régulateur.

 

§II.- L’information de l’adhérent. (p.402)

 

N°182. La justification de l’obligation d’information.

N°183. Les écueils à éviter.

N°184. Le devoir d’information du souscripteur selon la loi du 25-03-1997.

N°185. Le devoir d’information du FER selon la loi du 25-03-1997.

N°186. Les insuffisances de la loi du 25-03-1997.

N°187. Information de l’adhérent et systèmes de capitalisation en France.

N°188. L’exemple de l’épargne salariale.

N°189. L’information de l’adhérent dans les nouvelles propositions de loi.

N°190. Les exemples étrangers.

N°191. Les conditions d’une analyse pertinente de l’information par l’adhérent.

N°192. La fiabilité de l’information.

N°193. Relation d’agence et FER.

 

§III.- Les pouvoirs des assemblées générales d’adhérents. (p.418)

 

 

N°194. Une question négligée.

N°195. Les assemblées d’adhérents.

N°196. Le rôle des assemblées d’adhérents.

 

Sous section II : Le contrôle du comité de surveillance. (p.422)

 

§I.- La composition du comité de surveillance. (p.422)

 

N°197. Les choix du législateur en 1997.

N°198. La composition du comité de surveillance dans les nouvelles propositions de loi.

N°199. Les conflits d’intérêts potentiels entre l’activité syndicale et la défense des intérêts des adhérents.

N°200. Remarques terminologiques sur la proposition sénatoriale.

N°201. La précellence des intérêts de l’adhérent.

N°202. Le comité de surveillance central.

 

§II.- L’information du comité de surveillance. (p.431)

 

N°203. La formation des membres du comité de surveillance.

N°204. Exemple chiffré.

N°205. Le rapport de gestion.

N°206. Le dialogue entre les représentants du FER et les comités de surveillance.

N°207. L’expertise de gestion.

N°208. Le droit d’interroger les commissaires aux comptes et l’actuaire.

 

 

§III.- Le rôle du comité de surveillance. (p.442)

 

N°209. Les moyens des comités de surveillance.

N°210. Les missions octroyées aux comités de surveillance par la loi du 25-03-1997.

N°211. La confusion entre la gestion et la surveillance.

N°212. Attributions du comité de surveillance central.

N°213. La responsabilité des membres du comité de surveillance.

 

 

 

Section II : Les contrôles externes. (p.449)

 

Sous section I : Le contrôle des commissaires aux comptes. (p.449)

 

N°214. La nature du contrôle des commissaires aux comptes.

N°215. La spécificité du contrôle des commissaires aux comptes en matière d’épargne retraite.

 

§I.- Conditions et enjeux de l’intervention des commissaires aux comptes en matière d’épargne retraite. (p.451)

 

N°216. Une source de protection des adhérents.

N°217. L’indépendance des commissaires aux comptes.

N°218. « Corporate governance » et commissariat aux comptes dans les FER.

N°219. Les missions traditionnelles du commissaire aux comptes au sein du FER.

N°220. Les missions spécifiques octroyées aux commissaires aux comptes lors du contrôle d’un FER.

N°221. Droit d’information et moyens d’investigation des commissaires aux comptes lors du contrôle d’un FER.

 

§II.- Le secret professionnel des commissaires aux comptes dans les FER. (p.475)

 

N°222. Principe et limites du secret professionnel du commissaire aux comptes.

N°223. Secret professionnel et commissariat aux comptes dans les FER  selon la loi du 25-03-1997 et la proposition sénatoriale du 14-10-1999.

N°224. L’obligation de discrétion des membres du comité de surveillance.

 

 

Sous-section II : Le contrôle des pouvoirs publics. (p.483)

 

§I.- Présentation de la commission de contrôle des FER. (p.483)

 

N°225. Composition de la commission de contrôle des FER.

N°226. La fonction de la commission de contrôle des FER.

 

§II.- L’agrément des FER, technique de contrôle a priori. (p.489)

 

N°227. Une négation nécessaire de la liberté du commerce et de l’industrie.

N°228. La technique juridique de l’agrément.

N°229. Le retrait d’agrément.

N°230. Les critères d’obtention de l’agrément.

 

§III.- Le contrôle a posteriori. (p.499)

 

N°231. Le droit d’information et d’investigation de la commission de contrôle des FER.

N°232. Les moyens financiers et humains de la commission de contrôle des FER.

N°233. Le pouvoir de sanction de la commission de contrôle des FER.

N°234. Le contrôle des stipulations contractuelles.

N°235. Responsabilité de l’Etat du fait de l’insuffisance d’un contrôle.

 

 

Conclusion générale. (p.513)

 

 

N°236. Un sentiment d’inachevé.

N°237. Du PEELT au PPESV.

N°238. Perspectives d’avenir.

N°239. Un sujet pluridisciplinaire.

 

 

Index alphabétique. (p.521)

 

Bibliographie. (p.529)

 

Tables des matières. (p.555)